
Une frénésie burlesque jusqu'au "frappadingue" qui fait irrésistiblement penser aux délires des Marx Brothers.
Spike Jones is murdering the classics. - RCA : BMG, 1971 (P)
Notes sur la pochette du disque : "Spike Jones massacre les classiques !" "Wow, Attendez un peu d'entendre ce qu'il a fait à Carmen, Guillaume Tell, Le Beau Danube bleu, Liebstram, Casse-Noisette, etc."
Contient : L'ouverture de Guillaume Tell (d'après Rossini) ; Rhapsody from Hunger(y) ; Pal-Yat-Chee ; Liebestraum (d'après Liszt) ; Le beau Danube bleu (d'après Johann Strauss) ; The Jones Laughing Record (avec "Le vol du bourdon") (d'après Rimsky-Korsakov) ; Casse-Noisette (d'après Tchaikovsky) ; La danse des heures (d'après Ponchielli) ; None But The Lonely Heart : A Soaperetta (d'après Tchaikovsky)
Morphée (d'après Offenbach) ; Il Bacio (d'après Arditi) ; Carmen (d'après Bizet)
Ce disque, disponible à la médiathèque de Dole, est à écouter avec une certaine modération, la migraine étant, notamment, l'un des effets secondaires possibles.
L'article de Wikipédia sur Spike Jones
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