16 mars 2009

Alain Bashung (1947-2009) : une bibliographie, une conférence, ... et quelques liens

"... Si ça continue j’vais m’découper
Suivant les points, les pointillés eh..."
(Vertige de l'amour)

Alain Bashung Les romantiques (1968) [extrait]


Repères bibliographiques

  • Marc Besse, Gabriel Gay. Gaby, Oh ! Gaby. Scali, 2008
  • Patrick Roy. La trajectoire d'Alain Bashung ou Les croisées du nomade. Thèse (M.A.)--Université Laval, 2003.
  • Alain Bashung, Patrick Amine. Monsieur rêve : Biographie, entretiens et chansons. Flammarion, 2002
  • Alain Bashung, Illustré par Killofer. Bashung illustré. Libéré sur paroles. Albin Michel, 2001
  • Philippe Barbot. Alain Bashung. Librio, 2000
  • Patrice de Moncan, Alain Bashung. Bashung. Ed. du Mécène, 1998
  • Jean-Jacques Jelot-Blanc, Alain Bashung. Alain Bashung. Seghers, 1987
Conférence audio

Bashung, entre les mots et les sons
par Olivier Nuc et JP Nataf. (Enregistrée le 16/07/2006 aux Francofolies de La Rochelle. Durée : 51 minutes. Un fichier 36,7 Mo), une conférence chantée proposée par le Hall de la Chanson (source : http://www.lehall.com/conferences/bashung2009/)

Quelques ressources en ligne




4 commentaires:

  1. Week-end noir pétrole.

    RépondreSupprimer
  2. Tant d'hommages appuyés, tant d'éloges unanimes. Et pas une note dissonante sur un "chanteur" qui n'a jamais su chanter, qui s'est complu dans l'écriture de textes abscons. Ah ! Vertiges de l'amour : c'est le cas de le dire, au sujet des fans (sourds) du grand homme disparu.
    Paix à son âme, quand même.

    RépondreSupprimer
  3. @anonyme : merci de tenir si bien le rôle de trublion en apportant en ces circonstances ce commentaire dissonant.
    Vous semblez posséder une très bonne audition, vous avez ainsi la chance, le privilège ou le mérite de profiter pleinement des musiques dont les canons esthétiques vous agréent.
    Ne soyez alors pas trop sévère à l'encontre des manants et des pauvres hères qui ne possèdent pas pareille finesse d'ouïe et de jugement.
    NB

    PS : "Abscons", d'aucuns, amateurs du bien-dire, pourraient juger ce terme intrinsèquement... abscons.

    RépondreSupprimer
  4. Jean-Maurice ERIOMRALmercredi, 28 octobre, 2009

    Aimer ,ne pas aimer les mots et la musique d'Alain Bashung on est dans les émotions.On peut le dire tant mieux,c'est fait pour ça...Il laisse une jolie trace et quelle TRACE!le top,sans doute quand l'auteur et ce qu'il crée sont intimes,liés concernés...alors qu'on peut etre un sale con dans sa vie et participer à produire de la Beauté...Alors je ferme mon transistor à paroles,je me sers,j'aime je déteste selon,et je pars un doigt sur la bouche aussi...fermez la porte SVP,merci.

    RépondreSupprimer