"C'est un intermezzo lyrique, assez doux. Contrairement au premier mouvement, il n'a aucun programme. Il y a une pointe d'humour (je ne puis m'en passer !). Shakespeare connaissait la valeur de l'humour dans la tragédie. On ne peut continuellement tenir l'auditoire en état de tension." Chostakovitch

Tokyo International Forum, Tokyo, 2002
Symphonie n°7, 2ème mouvement, 1ère partie
Symphonie n°7, 2ème mouvement, 2ème partie
Sur la 7e de Chostakovitch : Wikipédia, Jean-Christophe Heckers "Lignes d'ombres"
Je comprends mieux pourquoi les articles consacrés sur mon petit blog à ce grand compositeur connaissaient un certain succès. Je ne me dirai pas spécialiste, juste atteint de "chostakovite" prononcée (et chronique). D'autres parlent de lui infiniment mieux que moi, en fait ils sont pléthore... Merci pour le lien malgré tout !
RépondreSupprimercette chostakovitchite aigue est une grande joie pour tout les ex new wave (there is no future in england dreaming) oui à l'europe, il a fait la même musique avec un orchestre symphonique, scnittke était lui même timide avec la guitare éléctrique, qu'attendant nous donc pour continuer la musique romantique industrielle ?
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